Communiqué de presse des effronté-es / 13 mars 2019
"Les effronté-es sont profondément choquées et indignées par l’action du Syngof, 1er syndicat des gynécologues obstétricien-nes qui compte plus de 1 600 membres. Il les a en effet appelé par courrier à la grève de l’IVG pour obtenir un amendement à la loi Santé auprès des parlementaires.
On ne joue pas avec les destins des femmes !
Les femmes ont déjà assez de mal à faire appliquer leur droit à l’avortement dans de bonnes conditions, du fait des nombreuses fermetures de centres d’IVG et des délais légaux pour avorter. Il est inadmissible, irresponsable voire dangereux que des gynécologues obstétricien-nes exercent un tel chantage et prennent en otage les femmes désirant mettre fin à une grossesse.
Pour les effronté-es, il s’agit bien d’une forme de délit d’entrave organisé à l’IVG !..."
Lire la suite sur le site de Christine DelphyContact presse : Fatima Benomar : 06 75 86 61 31
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