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14/11/2011

L’éternel féminin comme construction sexiste.

002-1.jpgIl a fallu bien du courage à Irène Jonas pour lire ces ouvrages de »psychologie évolutionniste», mais cela lui a permis d’amasser des matériaux pour faire une critique de fonds de cette « sacralisation rémanente du naturel » (Djouida Séhii). Comme le souligne cette préfacière : « Il n’est pas anodin que les processus de socialisation et de formation soient généralement écartés au bénéfice d’un destin biologique insurmontable ».

Trois parties dans ce livre:

  1. « La psychologie évolutionniste au secours de l’essentialisme »

  2. « De la princesse aguerrie à la femme accomplie »

  3. « De l ’épouse amante à la mère éducatrice »

 Entre les lignes et les mots

 

 

17:18 Publié dans J'ai lu... | Lien permanent | Commentaires (0)

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