14/11/2011
L’éternel féminin comme construction sexiste.
Il a fallu bien du courage à Irène Jonas pour lire ces ouvrages de »psychologie évolutionniste», mais cela lui a permis d’amasser des matériaux pour faire une critique de fonds de cette « sacralisation rémanente du naturel » (Djouida Séhii). Comme le souligne cette préfacière : « Il n’est pas anodin que les processus de socialisation et de formation soient généralement écartés au bénéfice d’un destin biologique insurmontable ».
Trois parties dans ce livre:
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« La psychologie évolutionniste au secours de l’essentialisme »
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« De la princesse aguerrie à la femme accomplie »
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« De l ’épouse amante à la mère éducatrice »
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